Presseschreiben der LFL

Communiqué de presse La LFL tient, après l’annulation de la reprise prévue ce week-end et certains commentaires qu’elle juge déplacés et hors sujet, à prendre position sur les raisons qui ont amené les clubs à refuser les tests antigéniques. Depuis des semaines, les clubs ont sollicité des réponses à certaines questions qu’entraînaient lesdits tests, notamment : -combien de joueurs et/ou personnes du staff technique devaient-elles au minimum se soumettre au test ou est-ce que tous devaient s’y soumettre -quelle était la conséquence si des joueurs refusaient de se soumettre au test -quelle était la conséquence si un ou plusieurs joueurs étaient testés positifs par rapport aux autres joueurs non positifs ou non testés -à partir de combien de joueurs testés positifs le match allait être reporté et avec quelles conséquences pour le club concerné (forfait ou non, match reporté à une date ultérieure ou non ?) -qui allait ou pouvait effectuer les tests et qui allait supporter le coût de la réalisation des tests (plus de 270.000 € pour l’ensemble des clubs !) -le huis clos lors des matches restait à définir, à savoir combien de personnes dirigeantes de chaque club pouvaient-elles y assister Les clubs conscients de l’importance des tests et de la sauvegarde de la santé des joueurs et personnes du staff technique ont estimé que faute d’obtenir une réponse concrète à ces questions et proposé dans un premier temps de reporter d’une quinzaine de jours la reprise du championnat. Cette décision a été bouleversée par l’annonce du ministère des sports comme quoi les tests étaient finalement facultatifs donc que chacun avait le libre-arbitre et il a été décidé de jouer sans tests en attendant une entrevue sollicitée avec le Ministre des Sports, la FLF et la LFL pour clarifier les points en discussion. Il est tout à fait regrettable que certains commentateurs n’aient pas jugé utile de s’enquérir au préalable des motifs de la décision de jouer dans un premier temps sans tests et ont fait un raccourci déplorable en estimant à tort qu’il y avait refus net de soumettre les joueurs aux tests. Il importe certes aux dirigeants de nos clubs d’assurer la pratique du football mais en préservant la santé de tous et personne n’entend transgresser ce principe. La LFL